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L’Homme en rouge et or, nouveau gardien du voile fané des secrets de l’origine de l’humanité!
Sur un balcon de Rome, un homme s’avance, drapé de blanc, de rouge et d’or, silhouette vacillante sous le poids d’un rôle démesuré.
Le vois-tu, ce fardeau qui courbe ses épaules ?
La foule s’embrase, s’agenouille, tend des mains fébriles vers ce « Saint-Père », comme si l’infini pouvait se glisser dans un costume fut-il tissé d’or. Mais observe cet homme, vraiment. Son visage, miroir brisé, trahit un malaise brûlant. Ses traits dévoilent sa lutte : l’écho d’une vie humble, tissée de rues poussiéreuses et de pauvres, se fracasse contre une vague d’adoration qui l’ensevelit. Un sourire tremblant s’esquive pour masquer la prison dorée qu’il vient d’accepter.
Déjà, il sait : on lui dictera ce qu’il pourra dire, et surtout, ce qu’il devra taire.
Sous les voûtes du Vatican, des secrets sommeillent, cadenassés loin des âmes.
Qui sommes-nous, en vérité ? Vers quelle lumière allons-nous ?
Quel rôle jouons-nous parmi les êtres interdimensionnels ? Ces vérités – notre essence cosmique, notre destin étoilé – sont retenues, volées à l’humanité.
Pendant ce temps, la foule, en transe, offre son feu sacré, son énergie vive, à une institution qui en a soif pour survivre.
N’y a-t-il donc personne qui voit ce cirque de vampirisation de l’élan des âmes pour nourrir ce théâtre millénaire ?
« Peuple, à genoux, attendant délivrance ! » Mais de qui viendra cette délivrance ? D’un pops, dont le sourire voile à peine l’amertume d’un fardeau, ou des vérités qu’on lui ordonne de taire ?
Jour après jour, nous oublions. Nous oublions que la Source – flamme vive, souffle sacré – n’est pas là-haut, captive d’un cameLEON blanc, rouge ou or. Elle pulse en nous, dans chaque frisson, chaque battement de cœur.
Cette connexion, pure et éternelle, nous l’avons toujours portée. Pourtant, on nous a appris à l’offrir à d’autres : trônes, églises, sauveurs parés de sacré.
Et si l’heure était venue de briser ce mirage ? De dire non aux idoles qui siphonnent énergie et lumière, non aux intermédiaires qui détournent notre feu ?
Toi qui lis, dis-moi : ta quête de la Source, de ce divin qui est tout, a-t-elle besoin de fumée noire ou blanche, de balcons, de rituels ? Ou sens-tu qu’elle vit déjà en toi, dans ce feu qui brûle sans attendre permission ?
Pourquoi donner tant d’énergie à des faux Christ, prophètes ou sauveurs extérieurs, à des figures qui te tiennent loin de ta vérité ?
Ose plonger en toi, loin des foules et des écrans. Dans le silence de ton cœur, là où la vérité profonde murmure. Là, tu trouves la Source – non un Dieu lointain, mais une présence infinie, vibrante, qui danse dans tes cellules. Là, elle répond. Là, elle libère.
Relève-toi. Déchire le voile des idoles et des costumes. Tourne le dos à ce théâtre qui vole ton souffle et reprends ton feu qu’il soit vacillant parfois ou un ardent flambeau.
La Source t’attend, et elle n’a jamais eu besoin d’un représentant pour parler à ton âme.
Si tu prenais, ne serait-ce que cinq minutes par jour, dans un silence total, pour parler, et surtout pour écouter cette voix qui murmure au fond de ton sanctuaire. Car oui, à force de rendez-vous, elle te dictera le chemin de ta liberté véritable, loin des dogmes et de la lourdeur de ton quotidien.
C’est ma simple réflexion, une invitation. À toi de voir si elle te parle.
With all my love!
© [Myriam Keyzer] 2025. Toute reproduction ou utilisation sans autorisation est interdite. Version française et anglaise – Si vous voulez, commentez ce qu’il évoque pour vous et partagez.

© [Myriam Keyzer] 2025. Any reproduction or use without authorization is prohibited. French and English versions – If you wish, comment on what it evokes for you and share.

TRANSLATION:
CameLEON
The Man in Red and Gold, New Keeper of the Faded Veil of Humanity’s Origins
On a Roman balcony, a man steps forward—draped in white, red, and gold. His silhouette trembles under the weight of a role too heavy for any one soul. Can you see it—the burden that bends his back?
The crowd ignites. They kneel. Hands stretch toward the “Holy Father” as if the infinite could fit inside a robe of gold. But look closer. His face, a shattered mirror, reflects unease. A humble life among dusty streets and the poor now collides with waves of worship.
Behind that trembling smile hides a golden prison.
He already knows: they will tell him what to say—and, most of all, what he must never speak.
In the shadows of the Vatican, truths sleep—chained far from curious hearts.
Who are we, truly?
What light calls us forward?
What part do we play in the interdimensional story?
Our cosmic origins, our stellar destiny—they’ve been withheld. Stolen.
Meanwhile, the crowd surrenders its sacred fire, feeding a centuries-old system that thrives on borrowed light.
And no one sees it?
This theater of worship, draining the soul’s spark to keep the stage alive?
“People, on your knees, waiting for deliverance!”
But from whom? A pope, smiling under the weight of secrecy?
Or from the truths he’s forbidden to share?
We forget.
The Source is not locked in gold robes or sacred rituals.
It pulses in you—in every breath, every heartbeat.
We’ve been taught to offer our fire to others: thrones, churches, saviors.
But maybe… it’s time to stop.
To break the illusion.
To say no to the idols that siphon your light.
No to the intermediaries that keep you from your flame.
You—yes, you reading this:
Does your divine connection truly need black or white smoke?
A balcony? A ritual?
Or do you feel it burning already, alive within, waiting for you to listen?
Why give your energy to false Christs or outside saviors?
Why surrender your truth to figures who benefit from your distance from it?
Go within.
Far from the noise.
In the silence of your own heart, a truth awaits you. It whispers.
There you find the Source—not a distant god, but a vibrant presence dancing in your cells.
There it speaks.
There it sets you free.
So rise.
Tear the veil.
Call out the lies.
Walk away from the show that steals your breath—and reclaim your fire, no matter how small or wild.
The Source has always been there.
It never needed a representative to speak to your soul.
Take five minutes a day.
Just five.
Silence everything.
Speak—and listen.
Because in time, that voice will guide you—not toward dogma, but toward true freedom.
This is my simple reflection. An invitation.
You decide if it speaks to your soul .

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