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J’ai toujours été attirée par les anciennes civilisations, surtout les Incas, les Mayas puis les Toltèques, Aztèques… Je les trouve astucieux, fascinant, plein de mystères.

Aller un jour au Pérou a été pour moi une évidence. Juste le mot « Andes » a toujours fait résonner quelque chose en moi. Je ne sais pas quoi, mais c’est profond. Puis il y a eu « La Prophétie des Andes ». Il y est justement question d’un voyage initiatique au Pérou qui mène dans la jungle amazonienne, en passant par la Cordillère des Andes. Oui, je veux vivre ça ! Et puis, je crois aux indicateurs de la vie, les synchronicités. Je sais qu’un jour j’irai là, et plus que ça, j’ai la conviction que ça va changer ma vie qui n’est pas toujours « le Pérou » comme le dit l’expression, justement.

Puis je me demande pour quoi le Pérou ? C’est vrai que quand je regarde les documentaires de ce pays, je tombe automatiquement dans un autre monde, un monde loin du bruit et de la consommation, loin de l’avoir, dans l’être. Je me vois au quotidien avec des « natives » en fusion constante avec la nature plus grande qu’elle-même !

Il y a dix ans, j’ai rencontré David… le chum de la Madame Péruvienne qui a l’agence de voyages près du lac. Vous comprendrez que je lui ai parlé de ma nostalgie d’un pays dont je ne connais absolument rien, mais dont la simple évocation me scotch, comme disent les Français, me laisse la bouche ouverte, le cœur battant et les bras ballants.

Et là… venu de nulle part, certainement pas des ornières tumultueuses de ma boule de neige, je suis à organiser des voyages pour les gens désireux de contacter, venus d’autres époques, ces savoirs anciens légués pour ce temps et ce lieu. Sédona, Shasta, Égypte… le Pérou est une évidence. Et il s’installe sur une autre certitude que mon cœur porte, celle que mes 55 printemps, qui tombent pile-poil sur l’itinéraire, seront une plaque tournante.

Et voilà que ce périple prend forme. Il est là imminent dans les mains du grand mystère, de la vie, de l’univers et de ses surprises. On me demande si je suis fébrile… J’avoue ne pas sentir grand-chose sinon un état cotonneux qui ne m’empêche pas de me sentir là, ancrée dans le présent. Oui, ce serait plaisant de me sentir excitée, mais si ça reste silencieux et bien j’y flotte. Ce « sans flot de pensées » envahissante est bienvenu.

Même si le rendez-vous avec le Machu Picchu est à portée, je sais que le Pérou ne se décrit pas, il se vit. Dans ce face-à-face avec les ruines d’une civilisation qui me dépasse, au bout du monde, devant une nature qui m’offrira ses plus beaux paysages, je suis dans une gratitude immense de vivre cette expérience unique. Je suis contente de ne pas avoir d’attente, — autre que de voir un vol majestueux de condor — . En Égypte j’ai compris que même si on ne sent pas toujours l’énergie des lieux, une grande révélation, dans une profonde transcendance ou même une expérience mystique comme on se l’imagine, les choses se passent. Être dans l’instant, ancré et surtout choisir un grand état d’ouverture en soi. C’est tout. Il y a des lieux où l’on reçoit et d’autres où l’on apporte. Puis avec le temps on risque de comprendre, de se réveiller, s’éveiller plus solide, plus joyeux, plus amoureux, plus aligné, plus paisible à défaut d’avoir trouvé l’illumination. C’est cela que le voyage amène. C’est souvent après, au retour du quotidien, que des réponses émergent. Il y a sur la planète ces points d’énergie très forts; chakra de la terre, ces anciens lieux sacrés, montagnes, forêts denses… l’énergie nous traverse dans ces endroits-là, parfois fougueusement si les attachements n’ont pas été dénoués. D’autres fois, ces lieux sacrés, ces montagnes foulées, vont apporter tout en douceur l’énergie qui manque, laisser s’ouvrir quelques verrous afin de laisser passer la lumière. N’est-ce pas ça la transcendance? Conscient ou non, la vibration de ces hauts lieux réaligne, dénouent silencieusement ce qui doit l’être. Quand la Vie nous traverse, ça peut sembler inconfortable, épeurant ou étonnant, mais toujours elle nous relie du ciel à la Pachamama, plus alignés et en paix. Cela fait partir des mystères, des énigmes du voyage. C’est pourquoi, que je rencontre ou non des chamans, que je vive ou non une transe chamanique, ce voyage sera initiatique.

Chose certaine, le Pérou, nombril du monde, est un pays qui touche les poumons de chacun qui le visite. Il touchera donc l’organe où se logent tous les chagrins humains. Eh oui, le chagrin blesse les poumons puisqu’il épuise Qi que gouverne cet organe, créant la fatigue, les états dépressifs et les angoisses. Accéder à ses altitudes permet de toucher la transformation de « son » air, de son ambiance interne et pour cela, ce voyage est tout désigné pour celui ou celle qui veut transcender ses peines. De toute façon, le voyage guérit toujours quelque chose dont on a ou non conscience; une mémoire, un blocage qui nous échappent. Je propose donc à chacun d’oser suivre son élan profond. Allez ! Entreprends ton propre voyage initiatique. Oui, c’est toute une sortie de zone, mais ça change la vie !

Prends note que quelques places sont disponibles si tu en sens l’élan… fais vite… c’est pour demain : https://www.porteurdeflambeau.com/voyage-perou

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